L’impression 3D, du prototypage à la production

Publié le 9 juin 2014

L’impression 3D, longuement réservée au prototypage rapide, voir notre article à ce sujet, est maintenant en train d’arriver progressivement en production. Jusque-là limité aux bureaux d’étude, l’impression 3D a gagné en vitesse et précision ces dernières années ce qui lui permet d’être de plus en plus utilisé chez les industriels.

Fabrication d’éléments multimatériaux

Sur les derniers modèles d’imprimante 3D il est maintenant possible de mixer différents matériaux sur une même pièce à l’aide de machines adaptés. Cette technique permet également de concevoir des structures évidées, en nid-d’abeilles, qui sont donc bien plus légères, la réduction du poids des pièces étant l’un des enjeux du secteur.

Une amélioration de la vitesse

La vitesse était jusque-là le principal inconvénient de l’impression 3D, de même que la taille des pièces pouvant être produites. Avec l’arrivée des imprimant 3D multilasers et du killowatt, la taille des plateaux peut maintenant atteindre 500 mm de côté et la vitesse d’exécution s’en retrouve augmenté.
Pour gagner encore plus de temps, certaines machines combinent les procédés additifs et soustractifs, appliquant directement un fraisage juste après le passage de la tête de l’imprimante 3D lors de la fabrication de la pièce.

Une durée de vie améliorer des produits

L’un des grands avantages de l’impression 3D est sa possibilité de fabriquer en un seul bloc ce qui aurait nécessité plusieurs pièces avec un processus de fabrication normal, augmentant ainsi la solidité de l’ensemble et sa durée de vie.
Retrouvez plus d’information sur l’impression 3D pour le prototypage rapide.